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"l'esprit fécond du doute"
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"l'esprit fécond du doute"
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25 novembre 2017

RACES ? 3

Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles. 

LA RACE ET L'ETHNIE


Une façon de nier l’existence des races humaines consiste à affirmer que seules les différences ethniques existent entre les groupes humains.

La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques. L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies.
 
Par exemple dans l’expression « les peuples européens » le mot peuples a deux sens possibles : « ethnies » ou « nations ». Si l’on pense aux peuples en tant que groupes humains rassemblés en nations unies sous la forme d’États, entités politiques, alors on a à l’esprit les Français, les Britanniques etc. Si l’on pense aux peuples en tant qu’ethnies, alors on a à l’esprit les Alsaciens, les Corses, les Tchèques, les Polonais, les Basques, les Écossais etc. 

Le mot ethnie n’est pas un remplacement du mot race car ces mots recouvrent des notions différentes.

Les différences socioculturelles qui permettent de distinguer les ethnies sont le domaine des ethnologues. Alors que les généticiens et les anthropologues sont capables d’effectuer une classification raciale des humains d’après les critères biologiques. 

Il est important de comprendre que les ethnologues ne peuvent pas définir ce que sont les races, car ils ne sont pas qualifiés pour examiner les critères biologiques, puisque le domaine des ethnologues est la culture.

Ce point est important car la confusion est souvent introduite à propos des races en faisant appel à des définitions que les ethnologues donnent des ethnies.

Insistons encore : « ethnies » et « races » ne recouvrent pas les mêmes notions.

Cependant, les caractéristiques culturelles d’une ethnie, favorisent dans certains cas un certain degré d’isolement, de sorte qu’un individu d’une ethnie préfère des contacts avec des individus de la même ethnie, et aura plus facilement des descendants avec un partenaire de la même ethnie que d’une autre ethnie. De sorte que certaines mutations se propagent prioritairement à l’intérieur de certaines ethnies avant de diffuser autour. Ce qui explique que les scientifiques qui sont capables, dans les travaux de recherche sur les caractéristiques génétiques des populations, de distinguer et d’identifier les sous-groupes raciaux en plus des principaux groupes raciaux, constatent fréquemment que les sous-groupes raciaux – identifiés par des caractéristiques biologiques – coïncident en grande partie avec des ethnies – lesquelles sont déterminées par des caractéristiques culturelles. 

Est-il permis de comparer les groupes humains ? 
Dans certaines périodes de l’histoire la vérité scientifique constitue une gêne face à l’idéologie que les cercles qui se partagent le pouvoir veulent propager. Chacun peut citer l’exemple de Galilée et nous verrons plus loin le cas des généticiens sous le régime stalinien : « les lyssenkistes ». Mais en quoi la vérité scientifique sur les races humaines peut-elle constituer une gêne pour l’ordre établi ?

À l’issue de 2de Guerre mondiale, il semblait primordial de calmer les esprits. Les travaux scientifiques devaient être interprétés dans le sens « nous sommes tous égaux, nous nous valons tous, il ne peut pas y avoir de différences, aucun valeur ne vaut qu’on se batte pour la préserver etc. ». Ainsi par exemple les travaux des ethnologues ont été interprétés dans ce sens.

Peut-on établir une classification des ethnies, certaines sont elles supérieures ou évoluées, d’autres sont-elles inférieures ou primitives ? L’idée qui a été propagée dans le grand public est que toutes les cultures se valent, qu’il est interdit de formuler une quelconque comparaison de valeur entre les cultures et donc entre les ethnies. Les écrits de certains ethnologues ont ainsi bénéficié d’une large publicité et leurs observations ont été interprétées de façon idéologiquement orientée. Mais la vérité est qu’un scientifique indépendant, qui n’écrit pas aux ordres d’une idéologie, n’écrira jamais qu’il n’est pas possible d’établir un classement des cultures. 

Il faut comprendre la différence entre le classement absolu et le classement relatif des cultures. 

Le classement absolu des cultures ne semble pas être actuellement à la portée des scientifiques. Le préalable, pour effectuer le classement absolu des cultures, serait que les finalités de l’Univers soient connues. Les caractéristiques qui favorisent l’évolution vers les finalités de l’Univers permettraient alors de classer les groupes humains, dont les ethnies ainsi que les races, du plus apte au moins apte. 

Le classement relatif est cependant possible.

Chaque culture véhicule son propre système de valeurs, des idéaux qu’elle vise à atteindre. Donc de façon relative, si on place le référentiel de comparaison par rapport à une culture donnée, il est possible, d’après les critères qui définissent le système de valeurs de cette culture, de classer toutes les cultures sur une échelle qui va de « la plus admirée » à celle qui est « la moins admirée ».

Tout individu est le résultat d’une part de son potentiel génétique et d’autre part des influences de son milieu culturel (éducation, enseignements etc.). Tout individu à son propre système de valeurs. La large majorité des individus obéissent à la règle de base de la psychologie, qui veut qu’en général on calque son système de valeurs sur le système de valeurs de la société dont on est le produit. De sorte que la large majorité des individus comparent les groupes humains, et comparent les cultures, en les classant d’après le référentiel des valeurs de la culture à laquelle ils appartiennent. 

Il est normal de comparer les groupes humains. Il est normal d’admirer certains groupes et de moins apprécier d’autres groupes. Il est normal de préférer une culture à une autre culture.

Il n’y a rien d’inadmissible dans le fait de placer un mode de vie au-dessus de tous les autres, ou de ne pas être attiré par des individus ou des groupes dont le mode de vie, respectable en soi, est très éloigné du système auquel on est traditionnellement attaché.

La science ne peut pas affirmer que toutes les cultures se valent et que par conséquent nous devons tout accepter. La science ne doit pas être falsifiée dans le but d’imposer l’idéologie de « nous sommes tous égaux, nous nous valons tous, il ne peut pas y avoir de différences, aucune valeur ne vaut qu’on se batte pour la préserver etc. ».

De même la science ne doit pas être falsifiée dans le but d’imposer l’idéologie qui prétend que biologiquement il n’y a pas de différences entre les groupes humains et que donc les races n’existent pas.

Nous verrons plus loin quelles sont les voies suivies par les travaux sur la génétique des races humaines. Avant nous allons examiner quels sont les procédés utilisés pour essayer de dénigrer la validité de ces travaux scientifiques. 

La science moderne est capable de mettre en évidence les groupes humains selon les critères biologiques. Cependant dans le contexte de l’idéologie mondialiste, qui veut uniformiser les groupes humains de tout point de vue, dans leurs caractéristiques biologiques et culturelles, des lobbies pro-mondialistes déploient des efforts pour empêcher que les résultats des travaux scientifiques, qui mettent en évidence les différences raciales, ne soient largement portés à la connaissance des citoyens par la diffusion à travers les grands médias. 

De sorte que les médias de masse continuent à mettre en avant les scientifiques qui nient l’existence des races et les médias de masse continuent à propager les discours qui dénigrent les travaux scientifiques qui démontrent l’existence des races humaines, c’est à dire qui démontrent que les races correspondent à des groupes humains biologiquement typés. 
Certains scientifiques nient alors que d’autres scientifiques confirment l’existence des races humaines
C’est un fait que certains scientifiques nient l’existence des races humaines, et c’est un fait que l’idéologie du mondialisme, qui actuellement dicte les règles dans les cercles au, et autour, du pouvoir politique et médiatique, met en avant ces scientifiques-là. Nous évoquerons ces scientifiques néo-lyssenkistes plus loin dans l’article. 

D’autres scientifiques considèrent que les différences entre les branches de l’humanité sont clairement marquées pour qu’on puisse parler de races, identifiables par des caractéristiques biologiques spécifiques que porte chaque groupe racial. Les études scientifiques qui démontrent l’existence des races humaines sont exposées plus loin dans l’article.

La vérité établie devrait pourtant être diffusée sans censure. L’obstruction que l’idéologie des mondialistes et des « antiracistes » cherche actuellement à imposer s’apparente à l’interdiction qui jadis empêchait de constater publiquement que « la Terre est une planète qui gravite autour de l’étoile Soleil ». 

Rappelons encore une fois que certains tentent d’étouffer le constat de l’existence des races humaines en essayant de museler par des accusations de racisme ceux qui évoquent la diversité raciale. Rappelons encore une fois que le fait de constater l’existence des races humaines n’est pas une manifestation du racisme. En vérité le racisme c’est l’appel à la haine contre certaines races. Le fait de revendiquer l’appartenance à une race, ce n’est pas du racisme. La preuve en est l’existence en France de nombreuses associations qui ont pour objectif de défendre les intérêts des Noirs. Ces associations sont réunies autour du CRAN (Conseil représentatif des associations noires). Et par exemple lorsque l’article « Les événements du monde noir qui ont marqué l’année 2008 » passe en revue les évènements qui en 2008 concernaient la race noire, en publiant, bien à propos, parmi les illustrations une photo avec la légende « 4 novembre : Barack Obama, Premier Noir à la Maison Blanche », chacun peut constater que parmi les commentaires des lecteurs postés à la fin de l’article, pas un ne dit que cet article, qui s’intéresse exclusivement aux évènements liés à la race noire, contient des idées racistes. Et c’est bien ainsi, car chaque individu a le droit de constater l’existence des groupes raciaux et de s’intéresser aux faits qui concernent ces groupes. 

Le néo-lyssenkisme 
Il faut réagir lorsque certains affirment à tort que les races humaines n’existent pas puisque « la science n’est pas capable de distinguer les races humaines ». Les anthropologues ont été les seuls spécialistes des la classification raciale mais depuis quelques années la science dispose de moyens nouveaux d’investigation biologique qui démontrent l’existence de groupes raciaux : nous exposerons plus loin les résultats des travaux effectués par les généticiens.

La science est en évolution permanente, parfois elle nie ce qu’étaient ses certitudes d’hier, ce qu’elle n’est pas capable de faire aujourd’hui peut-être le pourra-t-elle demain.

Donc même si la science d’aujourd’hui n’était pas capable de distinguer les races humaines cela ne signifierait pas que les races humaines n’existent pas.

Mais il se trouve que la science actuelle est capable de distinguer les races humaines. Seulement ce fait n’est pas mis en avant. De façon générale, ce qui est mis en avant ce sont les interprétations scientifiques qui contribuent à la propagation de l’idéologie actuellement dominante du mondialisme et de l’universalisme uniformisateur. 

Le phénomène analogue de la science interprétée selon les besoins de la cause, a été l’idéologie lyssenkiste qui a été pendant près de 30 ans la science officielle en URSS. 

Les idéologues soviétiques avaient besoin de démontrer scientifiquement que les individus sont égaux par nature, c’est-à-dire dans leur hérédité, et que seul l’environnement crée des différences de potentiel entre les individus. Les « preuves scientifiques », qui manquaient aux idéologues soviétiques, furent apportées par Trofim Denissovitch Lyssenko (1898-1976)

Avec ses explications « scientifiques » il avait dès 1935 attiré l’attention de Staline qui l’a mis en position d’engager une campagne systématique contre ses adversaires, qu’il dénonçait comme des ennemis du peuple, et contre la génétique, qu’il qualifiait de science bourgeoise et raciste.

Le lyssenkisme, c’est-à-dire la science officielle soviétique au service d’une idéologie, a tenté d’imposer la croyance qu’il n’y a pas de différences génétiques entre les individus au moment de leur conception et que c’est l’environnement qui façonne au cours de son existence la variante biologiques d’un individu. 

De même l’interprétation officielle mise en avant dans la société européenne actuellement, au début du XXIème siècle, tente d’imposer la croyance que génétiquement les différences entre les groupes humains, races ou ethnies, n’existent pas. Ainsi dans les écoles en France, on endoctrine les enfants avec toute sorte d’affirmations fausses comme par exemple que « la seule différence entre les groupes humains est la différence de couleur de peau et donc les races n’existent pas ». De sorte que dans les écoles en France il n’est pas permis d’exprimer la vérité suivante : un Noir albinos n’est pas un Blanc.

On fait croire aux enfants européens que la question des races humaines se réduit à une question élémentaire de pigmentation épidermique. 

La vérité est que les groupes humains biologiquement typés sont identifiables selon des critères biologiques, initialement étudiés par les anthropologues, et actuellement mis en évidence par les généticiens. 

Dans la partie 4 nous verrons quelle est la contribution de la génétique dans la détermination des races humaines.



 

http://lemondeactuel.angelfire.com/article/sommaire.htm

 

 

 

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